Un président américain lâche ses alliés pour faire des câlins à un dictateur.
C’est comme si ton pote, qui était censé te protéger dans une bagarre, commençait soudain à faire des selfies avec le mec qui veut te casser la gueule.
Le monde libre est en train de prendre la plus grande claque de son histoire.
Un petit récap’ de la situation :
→ Trump suspend l’aide à l’Ukraine comme on annule un Uber Eats
→ Poutine se frotte les mains comme un méchant de dessin animé
→ L’Europe regarde, bouche bée, son parapluie américain se refermer
On était censés combattre un dictateur. On se retrouve à affronter un dictateur soutenu par un traître.
Mais le plus flippant ? Ce n’est pas la trahison américaine…
C’est notre réaction.
Parce qu’entre nous, on fait quoi maintenant ?
La vérité qu’on refuse de voir ? L’Europe est seule. Pour la première fois depuis 1945.
Tu sais ce que ça signifie ?
Que si l’Ukraine tombe, c’est toute l’Europe qui vacille. Les pays baltes, la Moldavie, la Géorgie… la liste d’attente de Poutine est déjà prête.
Nombre d’Européens qui ont compris l’urgence ? Pas assez.
Nombre de pays prêts à augmenter significativement leur budget défense ? Encore moins.
Nombre de citoyens conscients qu’on joue notre avenir ? À toi de me dire.
On a passé 80 ans à croire qu’on ne pourrait plus JAMAIS voir un pays en envahir un autre en Europe. Que c’était « terminé ».
Toute l’architecture de sécurité sur laquelle on s’est reposé s’effondre sous nos yeux. Et nous, on continue à débattre de la taille idéale des concombres dans l’UE.
La France avait raison depuis des décennies en plaidant pour une autonomie stratégique. Maintenant, il faut la construire pour de vrai :
→ Renforcer le fonds européen de défense
→ Harmoniser nos systèmes d’armes et de munitions
→ Repenser notre dissuasion nucléaire avec les moyens français et britanniques
→ Redevenir une puissance industrielle
Mais le vrai réarmement, c’est d’abord dans nos têtes.
En face, Poutine et leurs utiles idiots continuent de parler de « paix ». La paix qu’ils proposent porte un autre nom : capitulation.
C’est la paix des collabos. Celle qui remplace Zelensky par un Pétain ukrainien à genoux devant Moscou.
Nos grands parents ont vaincu le fascisme et le communisme. Notre tâche est de vaincre les totalitarismes du 21ème siècle.
Parce que j’ai comme l’impression que l’histoire est en train de frapper à notre porte…
Et elle n’a pas l’air très patiente.
PS : Se préparer, c’est pas défendre la guerre, c’est défendre la paix.
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