L’humain est câblé pour chercher le beau.
Je ressens, donc je crée. Mais parfois, par excès de rationalité et parce que la pression sociale est trop forte, on est tenté de fragmenter notre rapport à l’art. Le fragment va se substituer à l’expérience globale. Voir une œuvre va nous donner l’impression d’avoir tout compris. Un exemple parfait : je décide d’apprécier l’art …