Tu veux savoir pourquoi tant de gens détestent le lundi?
À 15 ans, guitare à la main, il voulait être chanteur.
« Passe ton bac d’abord » qu’ils lui ont dit.
Il obéit. Bac en poche, prêt à conquérir les scènes.
« Trouve un vrai job maintenant. La musique, c’est pas sérieux. »
Le voilà en costard-cravate. Coincé dans un bureau avec un patron qui l’appelle Marc alors qu’il s’appelle Michel.
Une femme, un enfant, un crédit immobilier plus tard…
La guitare prend la poussière dans un placard.
Lundi, 6h30 – Le réveil sonne.
« Putain, déjà? »
Vendredi, 17h – ENFIN LIBRE!
Premier réflexe? Apéro. Pour oublier cette semaine de merde.
Cette routine, il la tient 40 ans.
40 ans à attendre le weekend.
40 ans à finir bourré pour se sentir vivant.
À 70 ans, diagnostic: cirrhose du foie.
Ironique, non? Au moment où il pourrait enfin profiter de sa retraite, il doit soigner ce qu’il a créé à force de fuir sa réalité.
Voici ce que tu dois comprendre:
1. Si tu détestes chaque lundi, c’est pas « normal » – c’est un message que t’ignores.
2. L’alcool et les distractions du weekend ne sont pas des récompenses – ce sont des anesthésiants pour une vie qui te fait mal.
3. Le prix de ne pas suivre tes rêves n’est pas juste la déception – c’est littéralement ta santé physique et mentale.
Comment savoir si t’es sur le bon chemin?
Simple: imagine qu’on te dise « désormais, il n’y aura que des lundis ».
Si ça te donne des sueurs froides, c’est le signal que quelque chose doit changer.
Tu sais que t’es au bon endroit quand chaque jour est un weekend.
N’attends pas 40 ans et une cirrhose pour comprendre:
« Plus tard » c’est maintenant.
Ou c’est jamais.
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