Un jour, une je sais tout, m’a dit : les managers toxiques ça n’existe pas !

Tu connais ce moment où ton estomac se noue rien qu’à l’idée de croiser ton manager dans le couloir ?

C’est pas la gastro.

C’est juste que ton boss (ça fonctionne aussi avec ta boss) est peut-être plus toxique qu’une centrale nucléaire en fusion. 71% des salariés ont déjà bossé sous les ordres d’un manager toxique. Et vu que t’as cliqué sur ce post, t’es sûrement en train de te demander si le tien en fait partie.

Spoiler : si tu te poses la question, c’est déjà pas bon signe.

Mais comment être sûr ? Voilà les signes qui ne trompent pas :

1. Il critique TOUT. Peu importe l’effort que tu fournis, rien n’est jamais assez bien. Tes réussites? Invisibles. Tes erreurs? Amplifiées x1000.

2. Il s’approprie tes victoires. Ce projet que t’as porté pendant des mois ? Soudain c’est « son idée géniale » devant la direction. Mais quand ça merde ? Là bizarrement, c’est 100% ta faute.

3. Un jour t’es un génie, le lendemain t’es un incapable. Son humeur est plus instable que la météo bretonne. Tu marches constamment sur des œufs, paralysé par l’incertitude.

4. Il te micro-manage comme un gamin de 5 ans. Contrôle obsessionnel, zéro autonomie, surveillance constante. Tu dois même lui demander la permission d’aller pisser.

5. Il divise pour mieux régner. Si certains collègues peuvent tout se permettre alors que d’autres se font démonter pour un rien, c’est pas un hasard.

6. Tes limites personnelles ? Il n’en a rien à foutre. Messages à 23h, dossiers urgents le dimanche, moqueries quand tu poses des congés.

La vérité brutale ? Un manager toxique te détruit à petit feu. D’abord ton moral, puis ta confiance, et finalement ta santé. Le stress chronique, l’anxiété, les problèmes cardiaques… Ton corps t’envoie des signaux. Écoute-le.

« Oui mais on peut pas tous avoir un super manager »
Ta gueule, Bernard!

Y’a une différence entre un boss médiocre et un toxique. Le premier est juste nul, le second est dangereux.

Si tu reconnais ces signes, t’as trois options :
– Confronter (risqué mais parfois nécessaire)
– Documenter et alerter les RH (si tu crois qu’ils servent à autre chose qu’organiser le pot de Noël)
– Préparer ton exit (souvent la meilleure solution)

Rappelle-toi : aucun job ne mérite que tu sacrifies ta santé mentale.

Et pour les managers qui se reconnaissent dans ce post… Ouais, c’est bien de TOI dont on parle. T’es pas « direct » ou « exigeant ». T’es juste toxique.

La vie est trop courte pour la passer avec quelqu’un qui te traite comme de la merde au fond de ses chaussures.

Tu mérites mieux. Et c’est pas négociable.

PS : Et si tu veux apprendre comment savoir contrer ce genre de personnes, regarde mon post de jeudi

Suis nous sur LinkedIn pour pleins de tips et de contenus dédiés aux parents et aux acteurs de l’éducation.

Laisser un commentaire